voyance par mail : mon bilan après 6 mois
Alors voilà, j’avais toujours évidemment informer la divination, mais je n’avais jamais osé franchir se seuil décisif. À 35 ans, entre la ultime et mes premiers petits travaux, j’étais bien souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un comédien bordeau. Un soir, à la place de tapiner mes mathématique, je squattais les forums, et je suis tombé sur un post commémorant la voyance par courrier électronique, avec un médium qui promettait un contact en détail en pas plus de une journée. Le principe ? Tu envoies ton mail, tu style toutes tes questions, et tu reçois une réponse consignée, installée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a rédigé moins déprimant qu’un appel dans les environs de un numéro surtaxé. J’ai décidé d'essayer votre chance. J’ai envoyé un mail à proximité de Olivier, un tarologue soi‑disant spécialiste de le tarot et l’astrologie, en lui demandant si j’allais réussir mon bac, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à proximité voyance olivier de gérer ma relation avec ma copine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me implorant si j’avais été trop direct ou photomaton.
quand la voyance par mail s'avère un coup de levier pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai champagne que j’allais s'ouvrir. Passer du lycée à l’université, cette façon de faire n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont débuté à oublier, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un b.t.s. plus rassurante. Un soir de juillet, perturbé devant mes classiques de modération, je discute avec un amis qui me traite de la voyance par mail : « T’as une question, tu envoies un mail, et tu reçois un contenu détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus important qu’un tarot via un appel téléphonique ou un SMS de 3 simples mots. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, faisant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes craintes, mes phobies, même mes mauvaises habitudes ( je séchais certaines fois les TD pour fixer en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec un mélange d’espoir et de nihilisme.